Sally dit :
"Je suis triste, je boude. Je me suis
laissé pousser la susceptibilité comme d'autres la moustache et me voilà
bien mal barrée. Je ne sais pas ramer en arrière, je ne sais pas
comment faire pour rebrousser mon chemin, ni mon poil, que j'ai
d'ailleurs fort mauvais ce matin !
Je me suis laissé pousser la
susceptibilité, il faudrait me la raser, il me faudrait un bon coiffeur.
Mais je ne vais plus chez le coiffeur. A chaque fois il me vexe..."